samedi 15 septembre 2012

L'Holocauste :Histoire Des Juifs

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"Sélection" sur le Judenrampe, Auschwitz , Mai / Juin 1944. Pour être envoyées à l'esclavage signifiait droite et à gauche, les chambres à gaz . Cette image montre l'arrivée des Juifs hongrois de la Ruthénie subcarpatique , beaucoup d'entre eux à partir de la Berehov ghetto. Elle a été prise par le cabinet Ernst Hofmann ou Bernhard Walter de la SS. Avec l'aimable autorisation de Yad Vashem . [1]
Certains chercheurs soutiennent que la définition de l'Holocauste devrait également inclure les nazis assassiner systématique de millions de personnes dans d'autres groupes, y compris les Roms , prisonniers de guerre soviétiques, polonais et soviétique civils, les homosexuels, les personnes handicapées , les Témoins de Jéhovah et d'autres politiques et opposants religieux , qui a eu lieu s'ils étaient d' allemand ou de non-allemand d'origine ethnique . [6] Selon cette définition, le nombre total de victimes de l'Holocauste se situerait entre 11 millions et 17 millions de personnes. [7] L'Holocauste (du grec ὁλόκαυστος holókaustos: Holos, «entier» et kaustos, "brûlé"), [2] aussi connu sous le nom de Shoah ( hébreu : השואה, HaShoah, «calamité»; Yiddish : חורבן, Churben ou Hurban, [3] de l'hébreu pour " destruction "), a été le génocide d'environ six millions d'Européens juifs pendant la Seconde Guerre mondiale , un programme systématique d'extermination parrainé par l'État par l'Allemagne nazie . [4] Les deux tiers de la population de neuf millions de Juifs qui avaient résidé en Europe avant la Holocauste ont été tués. [5]
La persécution et le génocide ont été réalisées en plusieurs étapes. Divers législation pour éliminer les Juifs de la société civile, principalement les lois de Nuremberg , a été adoptée dans les années Allemagne nazie avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. camps de concentration ont été créés dans lesquelles les détenus étaient utilisés comme esclaves jusqu'à ce qu'ils meurent d'épuisement ou de maladie. Lorsque le Troisième Reich conquis de nouveaux territoires en Europe de l'Est, les unités spécialisées appelées Einsatzgruppen juifs assassinés et opposants politiques dans des fusillades en masse. Les Allemands nécessaire Juifs et Roms d'être confinés dans des ghettos surpeuplés, avant d'être transportés par train de marchandises à des camps d'extermination où, s'ils ont survécu au voyage, la majorité d'entre eux ont été systématiquement tués dans les chambres à gaz . Chaque bras de l'Allemagne nazie bureaucratie a été impliqué dans les logistiques qui ont conduit à des génocides, transformant le pays en ce que l'on spécialiste de l'Holocauste a appelé «un état ​​génocidaire». [8] Les opinions divergent sur ​​la quantité de la population civile de la population de l'Allemagne savait au sujet du gouvernement conspiration contre la population juive. La plupart des historiens affirment que la population civile n'était pas au courant des atrocités qui ont été menées, en particulier dans les camps d'extermination situés en Europe sous occupation allemande. L'historien Robert Gellately , cependant, affirme que le gouvernement a ouvertement annoncé le complot à travers les médias, et que les civils étaient au courant de tous les aspects de la conspiration à l'exception de l'utilisation des chambres à gaz. [9]

Étymologie et l'utilisation du terme

Article détaillé: noms de l'Holocauste
L'holocauste terme vient du grec mot holókauston , un animal en sacrifice offert à un dieu dans lequel l'ensemble (holos) animal est complètement brûlé (kaustos). [10] Son latine formulaire (holocaustum) a d'abord été utilisé avec une référence spécifique à un massacre des Juifs par les chroniqueurs Roger de Howden [11] et Richard de Devizes en Angleterre dans les années 1190. Pendant des centaines d'années, le mot «holocauste» a été utilisé en anglais pour désigner les sacrifices massifs et des massacres ou des grands massacres. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le mot a été utilisé pour décrire les atrocités nazies indépendamment du fait que les victimes étaient des Juifs ou non-Juifs. Depuis les années 1960, le terme en est venu à être utilisé par les chercheurs et les écrivains populaires de se référer exclusivement au génocide des Juifs. [4]
Le terme de la langue courante après 1978, l'année où la célèbre mini-série de l'Holocauste a été diffusée sur le réseau américain NBC. La série s'est avéré que l'objet pourrait avoir un attrait populaire, ainsi que la fourniture d'un terme commode et durable. [12]
La Bible le mot Shoah (שואה) (également orthographié Sho'ah et Shoa), ce qui signifie «calamité», est devenu la norme en hébreu terme de l'Holocauste dès les années 1940, en particulier en Europe et en Israël. [13] Shoah est préféré par beaucoup Juifs pour un certain nombre de raisons, y compris le point de vue théologique caractère offensant du mot «holocauste», qu'ils prennent de se référer à la coutume grecque païenne. [14]

L'utilisation historique de l'Holocauste, Shoah et la solution finale

Le mot holocauste a été utilisé en anglais depuis le 18ème siècle pour désigner les morts violentes d'un grand nombre de personnes. [15] Par exemple, Winston Churchill et d'autres écrivains contemporains utilisé avant la Seconde Guerre mondiale pour décrire le génocide arménien du monde Guerre [16] Depuis les années 1950, son utilisation a été restreinte de plus en plus, avec son utilisation aujourd'hui principalement comme un nom propre pour désigner le génocide des Juifs perpétré par l'Allemagne nazie.
Holocauste a été adopté comme une traduction de la Shoah, un mot hébreu connotant catastrophe, calamité, catastrophe et la destruction [17] , qui a été utilisé en 1940 à Jérusalem dans une brochure intitulée Sho'at Yehudei Polin, et traduit comme L'Holocauste des juifs d' Pologne. Shoah avait déjà été utilisé dans le cadre des nazis comme une traduction de "catastrophe". Par exemple, en 1934, lors de Chaim Weizmann dit au Comité d'action sioniste que la montée d'Hitler au pouvoir était une "unvorhergesehene Katastrophe, etwa ein neuer Weltkrieg" ("une catastrophe imprévue, comparable à une autre guerre mondiale»), la presse hébraïque traduite Katastrophe que Shoah. [18] Au printemps 1942, la Jérusalem historien Benzion Dinur (Dinaburg) utilisé Shoah dans un livre publié par le Comité d'aide Unies pour les Juifs en Pologne pour décrire l'extermination des Juifs d'Europe, le qualifiant de «catastrophe» que symbolisé la situation unique du peuple juif. [17] [19] Le mot Shoah a été choisi en Israël pour décrire l'Holocauste, le terme institutionnalisé par la Knesset le 12 Avril 1951, lorsqu'il a créé Yom Ha-Shoah Ve Mered Ha- Getaot , la journée nationale de commémoration. Dans les années 1950, Yad Vashem , l'Israël "martyrs de la Shoah et de souvenir des héros» a été systématiquement traduire cela en anglais, "la catastrophe". A cette époque, l'holocauste a été souvent utilisé pour signifier l'embrasement d'une grande partie de l'humanité dans une guerre nucléaire. [20] Depuis lors, Yad Vashem a modifié sa pratique, le mot «Holocauste», le plus souvent maintenant capitalisés, est venu à désigner principalement à le génocide des Juifs d'Europe. [13] [18] L'historien américain Walter Laqueur (dont les parents sont morts dans la Shoah) a fait valoir que le terme Holocauste est un «singulièrement inappropriés" terme pour le génocide des juifs car il implique une " holocauste "à Dieu. [21] Laqueur a écrit: «Ce n'était pas l'intention des nazis à faire le sacrifice de ce type et la position des Juifs n'était pas celle d'une victime rituelle". [21] L'historien britannique Geoff Eley a écrit dans un essai 1982 intitulé "Histoire de l'Holocauste" qu'il pensait que le terme Shoah implique "une mystification particulière, une insistance sur le caractère unique de l'expérience juive". [21] L'historien israélien Saul Friedländer a écrit en 1987 «la croissance centralité de la Shoah pour les communautés juives de la Diaspora et que «La Shoah devient presque un symbole d'identification, pour le meilleur ou pour le pire, que ce soit en raison de l'affaiblissement de la liaison de la religion ou du fait de la moindre prégnance du sionisme et d'Israël, un élément d'identification ". [21] L'historien britannique Richard J. Evans a écrit en 1989 que le terme Shoah ne convenait pas, et ne doit pas être utilisée. [21]
La durée habituelle allemand de l'extermination des juifs pendant la période nazie était l'euphémisme phrase Endlösung der Judenfrage (la « Solution finale de la question juive »). En anglais et en allemand, "solution finale" est largement utilisé comme une alternative à «l'Holocauste». [22] Pendant un certain temps après la Seconde Guerre mondiale, les historiens allemands ont également utilisé le terme Völkermord («génocide»), ou en totalité, der Völkermord un Juden den ("le génocide du peuple juif»), tandis que le terme répandu dans l'Allemagne d'aujourd'hui est soit Holocauste ou Shoah de plus en plus.

L'utilisation du terme Holocauste pour les victimes juives et non-juives

Bien que les termes «Shoah» et «Solution finale» se réfèrent toujours au sort des Juifs pendant la domination nazie , le terme «Holocauste» est parfois utilisé dans un sens plus large pour décrire d'autres génocides des régimes nazis et autres.
L' Encyclopédie Britannique définit le terme «Holocauste» comme «nom donné à la période de la persécution et de l'extermination des Juifs d'Europe par l'Allemagne nazie». [23] La Compact Oxford English Dictionary [24] et Microsoft Encarta [25] donne des définitions similaires. L' Encyclopædia Britannica définit le terme «Holocauste» comme «la systématique parrainé par l'État meurtre de six millions de Juifs, hommes, femmes et enfants, et des millions d'autres par l'Allemagne nazie et ses collaborateurs au cours de la Seconde Guerre mondiale", [3] , bien que l'article se poursuit en dire: «Les nazis ont également distingué les Roms (Tsiganes). Ils étaient le seul autre groupe que les nazis ont systématiquement tués dans les chambres à gaz aux côtés des Juifs ». [3]
Les chercheurs sont divisés sur la question de l'Holocauste terme devrait être appliquée à toutes les victimes de la campagne assassiner en masse nazis, avec l'aide de quelques-uns comme synonyme de la Shoah ou « Solution finale de la question juive », et d'autres, y compris le meurtre de peuples roms (Roms et les Sintis ), les Polonais , les décès de prisonniers de guerre soviétiques, les Slaves, les homosexuels, Témoins de Jéhovah, les opposants à mobilité réduite, et politique. [26]
Yehuda Bauer affirme que l'Holocauste doit inclure seulement les juifs parce que c'était l'intention des nazis d'exterminer tous les Juifs, alors que les autres groupes ne devaient pas être totalement anéanti. [27] L'inclusion des non-juifs victimes des nazis pendant l'Holocauste est contestée par de nombreuses personnes, y compris Elie Wiesel , ainsi que par des organisations telles que Yad Vashem créé pour commémorer les victimes de l'Holocauste. [28] Ils disent que le mot a été initialement conçu pour décrire l'extermination des Juifs, et que l'Holocauste juif était un crime d'une telle ampleur, et de la totalité et de la spécificité telle, comme l'aboutissement de la longue histoire de Europe l'antisémitisme , qu'il ne devrait pas être inclus dans une catégorie générale avec les autres crimes des nazis. [28]
Michael Burleigh et Wolfgang Wippermann soutiennent que bien que tous les juifs étaient des victimes de l'Holocauste transcende les limites de la communauté juive -. autres personnes partageaient le destin tragique de victime [29] László Teleki applique le terme «Holocauste» à la fois à assassiner les Juifs et peuples roms par les nazis. [30] Dans Le Guide de Columbia à la Shoah, Donald Niewyk et Francis Nicosia utiliser le terme pour y inclure les Juifs, les Tsiganes et les personnes handicapées. [31] Dennis Reinhartz a affirmé que les Tsiganes ont été les principales victimes du génocide au la Croatie et la Serbie pendant la Seconde Guerre mondiale, et a appelé cela «l'Holocauste des Balkans 1941-1945». [32]
Parfois, le terme «Holocauste» est utilisé pour décrire des événements qui n'ont aucun lien avec l'Europe ou la Seconde Guerre mondiale. Selon David Stannard , l '«Holocauste américain» impliqués meurtre de environ 50-100 millions de personnes autochtones, et se poursuit sur ​​une plus petite échelle dans les Amériques. [33] Le « Rwanda Holocauste »se réfère au génocide de 1994 au Rwanda. Le " cambodgienne Holocauste »comprend les massacres par l' Khmers rouges au Cambodge régime .. "Holocauste africaine" décrit la traite négrière et la colonisation de l'Afrique, également connu sous le nom Maafa . [34] Ensuite, il ya la perspective de "Armageddon nucléaire ", également connu comme" Holocauste nucléaire ".

Particularités

Conformité des institutions de l'Allemagne

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Ghettos ont été créés en Europe dans lequel les Juifs étaient confinés avant d'être expédiés vers les camps d'extermination.
Michael Berenbaum écrit que l'Allemagne est devenue un "Etat génocidaire». [8] Chaque bras de la bureaucratie sophistiquée du pays a été impliqué dans le processus de mise à mort. Églises paroissiales et les registres ministère de l'Intérieur de naissance fournis montrant qui était juif, La Poste a livré le déportations et les commandes de dénaturalisation, le ministère des Finances ont confisqué les biens juifs; entreprises allemandes ont tiré les travailleurs juifs et juives privées de leurs droits des actionnaires, les universités ont refusé d'admettre les Juifs, nié degrés à ceux déjà étudié, et a tiré des universitaires juifs, des bureaux gouvernementaux de transport organisé pour les trains de déportation vers les camps; sociétés pharmaceutiques allemandes testé des médicaments sur les prisonniers du camp; soumission entreprises pour les contrats de construction des crématoires, des listes détaillées des victimes ont été établis selon la Dehomag (IBM Allemagne) société de cartes perforées , machines produisant des registres méticuleux de ces meurtres. En tant que prisonniers entrés dans les camps de la mort, ils ont été faits pour rendre tous les biens personnels, qui a été soigneusement répertoriés et étiquetés avant d'être envoyés en Allemagne pour être réutilisés ou recyclés. Berenbaum écrit que la solution finale de la question juive était «aux yeux de leurs auteurs ... la plus grande réussite de l'Allemagne." [35]
Saul Friedländer écrit que: «Pas un seul groupe social, et non pas une communauté religieuse, et non pas une institution universitaire ou une association professionnelle en Allemagne et dans toute l'Europe a déclaré sa solidarité avec les Juifs». [36] Il écrit que certaines églises chrétiennes a déclaré que les Juifs convertis devraient être considéré comme une partie du troupeau, mais même alors, seulement jusqu'à un certain point.
Friedländer affirme que ce qui rend la Shoah distinctif en raison des politiques antisémites ont pu se dérouler sans l'ingérence des forces contraires de ce genre se trouvent normalement dans les sociétés avancées, telles que l'industrie, les petites entreprises, les églises et autres groupes d'intérêts et lobbying des groupes. [36]

Domination de l'idéologie et de l'ampleur du génocide

En d'autres génocides, des considérations pragmatiques telles que le contrôle du territoire et des ressources étaient au cœur de la politique de génocide. Yehuda Bauer affirme que:
La motivation fondamentale [de l'Holocauste] est purement idéologique, ancrée dans un monde illusoire de l'imagination nazie, où une organisation internationale juive conspiration pour contrôler le monde était opposé à un parallèle aryenne quête. Pas de génocide à ce jour avait été fondée afin entièrement sur ​​des mythes , des hallucinations , sur abstraite, idéologie nonpragmatic -. qui a ensuite été exécutés par des moyens rationnels, très pragmatiques » [37]
Répondant au philosophe allemand Ernst Nolte qui a affirmé que l'Holocauste n'était pas unique, l'historien allemand Eberhard Jäckel a écrit en 1986 que l'Holocauste était unique parce que:
"L'assassinat national-socialiste des Juifs était unique en ce sens avait jamais un état avec l'autorité de son chef responsable a décidé et annoncé qu'un groupe humain spécifique, y compris ses personnes âgées, ses femmes et ses enfants et nourrissons, seraient tués aussi rapidement que possible, et ensuite transportée à travers cette résolution par tous les moyens possibles de pouvoir de l'Etat ". [38]
Le massacre a été systématiquement réalisée dans pratiquement tous les domaines de territoire occupée par les nazis dans quelles en sont aujourd'hui 35 pays européens différents. [39] Il était à son paroxysme en Europe centrale et orientale, qui comptait plus de sept millions de Juifs en 1939. Environ cinq millions de Juifs ont été tués, dont trois millions en Pologne occupée et plus d'un million dans l'Union soviétique. Des centaines de milliers ont également péri dans les Pays-Bas, la France, la Belgique, la Yougoslavie et la Grèce. Le protocole de Wannsee indique clairement que les Nazis ont aussi pour but de mener à bien leur «solution finale de la question juive» en Grande-Bretagne, et tous les autres Etats neutres en Europe comme l'Irlande, la Suisse, la Turquie, la Suède, le Portugal et l'Espagne. [40 ]
Toute personne ayant trois ou quatre grands-parents juifs devaient être exterminés sans exception. En d'autres génocides, les gens ont pu échapper à la mort par la conversion à une autre religion ou d'une autre manière d'assimilation . Cette option n'est pas disponible pour les Juifs de l'Europe occupée, [41] à moins que leurs grands-parents s'étaient convertis avant au 18 Janvier 1871. Toutes les personnes d'ascendance juive récente devaient être exterminés dans les terres contrôlées par l'Allemagne. [42]

Des expériences médicales

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Une expérience d'immersion dans l'eau froide camp de concentration de Dachau présidé par le professeur Holzlohner (à gauche) et le Dr Rascher (à droite)
Une autre caractéristique de l'Holocauste a été l'utilisation extensive des sujets humains dans des expériences médicales. Des médecins allemands ont effectué des expériences telles à Auschwitz, Dachau , Buchenwald, Ravensbrück, Sachsenhausen et les camps de concentration de Natzweiler. [43]
Le plus célèbre de ces médecins était le Dr Josef Mengele , qui a travaillé à Auschwitz. Ses expériences comprenaient plaçant les sujets dans des chambres de pression, tester des médicaments sur eux, de les congeler, en essayant de changer la couleur des yeux en injectant des produits chimiques dans les yeux des enfants et des amputations diverses et autres chirurgies brutales. [43] L'étendue de son travail ne sera jamais connu, car le camion de dossiers qu'il a envoyés au Dr. Otmar Verschuer von à l' Institut Kaiser Wilhelm a été détruit par von Verschuer. [44] Sujets qui ont survécu à des expériences de Mengele étaient presque toujours tués et disséqués peu de temps après.
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Roms enfants d'Auschwitz , victimes d'expériences médicales
Il semblait particulièrement désireux de travailler avec des enfants roms. Il apporterait des bonbons et des jouets, et personnellement les emmener à la chambre à gaz. Ils l'appellent "Onkel Mengele". [45] Vera Alexander était un détenu juif à Auschwitz qui s'occupait de 50 ensembles de Romani jumeaux:
" Je me souviens d'un couple de jumeaux en particulier: Guido et Ina, âgé d'environ quatre ans. Un jour, Mengele les ont emmenés. Quand ils sont revenus, ils étaient dans un état lamentable: ils avaient été cousues ensemble, dos à dos, comme des jumeaux siamois. Leurs blessures étaient infectées et suintantes du pus. Ils ont crié jour et nuit. Puis leurs parents - je me souviens le nom de la mère était Stella - réussi à obtenir quelques morphine et ils ont tué les enfants afin de mettre fin à leurs souffrances. [45] "

Le développement et l'exécution

Origines

Voir aussi: l'antisémitisme , le christianisme et l'antisémitisme , Martin Luther et l'antisémitisme, et de boycott des commerces juifs nazi
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À 10 h, le 1 Avril 1933, les membres de la Sturmabteilung déplacé en place dans toute l'Allemagne, se placent en dehors appartenant à des Juifs entreprises pour dissuader les clients. Ces stormtroopers sont hors magasin d'Israël ministère à Berlin. Les signes lire: "Allemands! Défendez-vous! N'achetez pas chez les Juifs. "(" Deutsche! Euch Wehrt! Kauft nicht bei Juden! ") [46] Le magasin a été saccagé pendant la Nuit de Cristal en 1938, puis remis à une famille non-juive.
Yehuda Bauer , Raul Hilberg et Lucy Dawidowicz soutenu que depuis le Moyen Age, la société et la culture allemandes ont été imprégnés d'antisémitisme et il y avait un lien direct entre les pogroms médiévales dans les camps de la mort nazis des années 1940. [47] [48] [49]
Hans Küng a écrit que «l'antijudaïsme nazi était l'œuvre d'athées, anti-chrétiens criminels. Mais il n'aurait pas été possible sans les presque deux mille ans d'histoire de la pré-«chrétien» anti-judaïsme ... " [50] La deuxième moitié du 19ème siècle a vu l'émergence en Allemagne et en Autriche-Hongrie, de la soi-disant völkisch mouvement qui, comme élaborée par des penseurs tels que völkisch Houston Stewart Chamberlain et Paul de Lagarde , a présenté un pseudo-scientifique, le racisme à base biologique qui a vu les Juifs comme une «race» enfermés dans un combat mortel avec le "aryenne" course à la domination du monde. [51] Völkisch l'antisémitisme, bien que s'appuyant sur ​​des stéréotypes de l'antisémitisme chrétien, différait de celle-ci en ce que les Juifs ont été considérés comme une «race» plutôt qu'une religion. [52] En 1895, l'un des leaders völkisch, Hermann Ahlwardt dans un discours prononcé devant le Reichstag a appelé les juifs «prédateurs» et «bacilles choera" qui devrait être «exterminés» pour le bien du peuple allemand. [53] Dans son best-seller 1912 livre Wenn ich der Kaiser wär (Si je étaient le Kaiser), Heinrich Class , le chef de l'un des groupes les plus puissants völkisch, le Verband Alldeutscher a insisté pour que tous les Juifs allemands sont déchus de leur nationalité allemande et se réduire à Fremdenrecht (statut d'étranger). [54] Classe ensuite instamment à Wenn ich der Kaiser wär que les Juifs soient totalement exclues de tous les aspects de la vie en Allemagne, avec la classe de recommander que les Juifs se voir interdire de posséder des terres, exercer une fonction publique, et de participer dans le journalisme, les banques et les professions libérales. [54] classe définie Juifs que n'importe qui, indépendamment de leur religion, dont les grands-parents ou les parents étaient des Juifs en 1871. [54] L'historien britannique de l'Allemagne moderne, Richard J. Evans a écrit que durant la période impériale dans l'histoire allemande, völkisch et raciste scientifique idées était devenue très courante et acceptée dans de nombreux quartiers en Allemagne [55] . À travers les partis völkisch subi une cuisante défaite en 1912 élections au Reichstag, étant tout sauf éliminé, ce qui a eu moins à voir avec l'impopularité de völkisch l'antisémitisme et était plus due à intégrer les partis politiques allemands, intégrant les aspects de völkisch l'antisémitisme en leurs plates-formes, ce qui contribue à expliquer pourquoi nazie völkisch l'antisémitisme créée objection si peu pendant la République de Weimar [56] . Le Parti des travailleurs nationaux-socialistes allemands a été fondée en 1919 comme une émanation du mouvement völkisch, et ​​en conséquence pris la völkisch antisémitisme. [57] Dans un essai 1986, l'historien allemand Hans Mommsen écrivait à propos de la situation dans l'après- Première Guerre Allemagne que:
«Si l'on met l'accent sur ​​la connexion incontestablement important dans l'isolement, il ne faut donc pas forcer une connexion avec Hitler Weltanschauung [vision du monde], qui était en aucune façon originale elle-même, afin de priver d'elle l'existence d'Auschwitz ... Réflexions sur l'extermination des Juifs était courant depuis longtemps, et pas seulement pour Hitler et ses satrapes. Beaucoup d'entre eux ont trouvé leur chemin vers le NSDAP depuis le Deutschvölkisch Schutz-und Trutzbund [Union raciale allemande pour la protection et la Defiance], qui lui-même avait été appelé à la vie par l' Union pangermaniste ». [58]
La fin du 19e et début du 20e siècle avait vu formidable évolution scientifique et technologique avec la croissance en Allemagne de l'État providence, qui avait créé l'espoir répandus à la fois au sein du gouvernement et dans la société qui «utopie» était à portée de main et bientôt tous les problèmes sociaux pourraient être résolu [59] . Dans le même temps, la possession d'un grand prestige de la science, un scientifique raciste, darwiniste social et eugéniste vision du monde qui a déclaré que certaines personnes d'être biologiquement plus "précieux" que d'autres était commun parmi les élites allemandes [60] . L'historien Detlev Peukert dans son essai 1989 "La Genèse de la« solution finale »de l'Esprit de la science» a déclaré que la Shoah n'était pas uniquement le résultat de l'antisémitisme, mais était plutôt un produit de la «radicalisation cumulative», dans lequel "de nombreux petits courants" introduit dans le "large courant» qui a conduit au génocide [61] . Après la Première Guerre mondiale, l'ambiance d'avant-guerre d'optimisme a fait place à la désillusion, les bureaucrates allemands ont trouvé des problèmes sociaux à être plus insoluble que dans la première pensée qui, à son tour, guidé par le darwinisme social et de valeurs qui prévaut eugénistes les conduit à mettre un accent croissant sur le sauvetage du biologiquement "ajustement" tandis que le biologique «inapte» devaient être radiés [62] . Les difficultés économiques causées par la Grande Dépression a conduit à une grande partie de l'establishment allemand médicale pour commencer défense avec plus de vigueur qu'auparavant, même avant l'arrivée des nazis au pouvoir l'idée d'assassinats sélectifs de la "incurable" handicapés physiques et mentaux comme un coût -mesure d'économie, afin de libérer de l'argent pour s'occuper de l'curable [63] . Ainsi, au moment où le nazisme est arrivé au pouvoir en 1933, un énorme coup de pouce a été donné à la tendance déjà existante en matière de politique sociale allemande pour sauver la race "précieux" tout en cherchant à débarrasser la société de la race "inestimable" [64] .
Le parti nazi sous Adolf Hitler est arrivé au pouvoir en Allemagne le 30 Janvier, 1933, et la persécution et l'exode de 525 000 Juifs d'Allemagne a commencé presque immédiatement. Dans Mein Kampf (1925), Hitler avait été ouverte au sujet de sa haine des Juifs, et a donné un avertissement suffisant de son intention de les chasser de la vie politique, intellectuelle et culturelle de l'Allemagne. Il n'a pas écrit qu'il allait tenter de les exterminer, mais il aurait pu être plus explicite en privé. Dès 1922, il aurait dit au major Joseph enfer, au moment où un journaliste:
" Une fois que je suis vraiment au pouvoir, ma première tâche sera l'anéantissement des Juifs. Dès que j'ai le pouvoir de le faire, je vais devoir potence construites en rangées - à la Marienplatz à Munich , par exemple - autant que la circulation le permet. Alors les Juifs seront pendus sans discrimination, et ils resteront suspendus jusqu'à ce qu'ils puent, ils vont s'accrocher aussi longtemps que les principes de l'hygiène permis. Dès qu'ils ont été déliée, la prochaine fournée sera pendu, et ainsi de suite sur toute la ligne, jusqu'à ce que le dernier Juif de Munich a été exterminé. D'autres villes suivront, précisément de cette manière, jusqu'à ce que toute l'Allemagne a été complètement nettoyée des Juifs. [65] "
L'historien allemand Hans Mommsen affirmé qu'il y avait trois types d'antisémitisme en Allemagne, qu'il a définies comme suit:
«Il faut distinguer entre l'antisémitisme culturel symptomatique des conservateurs allemands - trouve surtout dans le corps de l'officier allemand et la haute administration civile - et principalement dirigée contre les Juifs de l'Est d'une part, et l'antisémitisme völkisch de l'autre. Les fonctions de variétés conservatrices, comme Shulamit Volkov a fait remarquer, comme une sorte de «code culturel." Cette variété de l'antisémitisme allemand plus tard joué un rôle important dans la mesure où il empêche l'élite fonctionnelle, de se distancier des répercussions de l'antisémitisme racial. Ainsi, il n'y avait presque aucune protestation pertinente contre la persécution des Juifs de la part des généraux ou des groupes de premier plan au sein du gouvernement du Reich. Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne la proclamation de Hitler de la «guerre annihilation raciale» contre l'Union soviétique.
Outre l'antisémitisme conservateur, il existait en Allemagne un plutôt silencieux anti-judaïsme dans l'Église catholique, qui a eu un certain impact sur l'immunisation de la population catholique contre l'escalade de la persécution. La manifestation célèbre de l'Église catholique contre le programme d'euthanasie était, par conséquent, ne s'accompagne d'aucun signe de protestation contre l'Holocauste.
La troisième variété et la plus virulente de l'antisémitisme en Allemagne (et ailleurs) est le soi-disant antisémitisme ou le racisme völkisch, et ​​c'est le plus ardent défenseur de l'utilisation de la violence. Quoi qu'il en soit, il faut être conscient que même Hitler jusqu'en 1938 et peut-être 1939 reposait toujours sur l'émigration forcée de se débarrasser des Juifs allemands, et il n'existait pas encore un concept clair de les tuer. Ceci, cependant, ne signifie pas que les nazis ailleurs à tous les niveaux n'ont pas hésité à recourir à des méthodes violentes, et les incursions contre les Juifs, les magasins juifs et les institutions montrent très clairement. Mais il n'existait aucun programme anéantissement formel avant la deuxième année de la guerre. Il a vu le jour après la «réserve» des projets avaient échoué. Cela, cependant, ne signifie pas que ces méthodes ne comporte pas de composante mortelle ». [66]
Protostar: L'Holocauste

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